Il peut vous être nécessaire d’avoir une machine dont l’heure est réglée très précisément, par exemple sur votre serveur, ou parce que ça vous amuse d’avoir votre Debian calée sur l’horloge atomique, ou encore si la pile de votre carte mère est vide, donc que votre ordinateur perd l’heure à chaque arrêt. Pour s’assurer de cette ponctualité, il existe des serveurs de temps, sur lesquels Linux peut se caler à intervalles réguliers ou sur demande.
Lors d’une installation ou d’une configuration un peu lourde, on est vite tenté de lancer plusieurs terminaux pour éviter de passer notre temps à changer de dossier et à retrouver les commandes dans l’historique. Pour gagner en ergonomie, on peut diviser la fenêtre du terminal en plusieurs afin de pouvoir passer des commandes dans chacune d’elles. Pour cela, il existe deux solutions, une simple et une complexe très puissante. On va ici s’intéresser à la seconde. Continuer la lecture de Diviser le terminal en plusieurs fenêtres (ou l’inverse…)→
Une mosaïque consiste en une grande image, elle-même composée de nombreuses miniatures. Il fut un temps où cette technique représentait un art, mais vous verrez à travers ce billet qu’elle est maintenant accessible à tout linuxien moyen.
À force de sauvegarder, déplacer, renommer et supprimer les fichiers, on en arrive souvent à se voir naviguer entre dossiers vides, doublons et liens symboliques cassés. Pour éviter que votre ordinateur ne devienne la Foir’Fouille, FSlint est votre ami.
Nombreux sont les habitués d’Ubuntu et de son bureau Gnome qui sont déçus par la nouvelle interface Unity et qui sont donc tentés de « revenir aux sources », comprenez « passer sous Debian ». Mais on peut avoir bien d’autres raisons d’être tenté par cette distribution : sa stabilité n’est plus à prouver et sa polyvalence est quasiment sans égal. Continuer la lecture de Faites le pas : passez sous Debian→